En vitesse, en hommage, comme ça, juste avant de partir, pour la beauté et pour le reste, pour les derniers mots.
"La femme Narsès. - Comment cela s’appelle-t-il, quand le jour se lève, comme aujourd’hui, et que tout est gâché, que tout est saccagé, et que l’air pourtant se respire, et qu’on a tout perdu, que la ville brûle, que les innocents s’entre-tuent, mais que les coupables agonisent, dans un coin du jour qui se lève ?
Électre. - Demande au mendiant, il le sait.
Le Mendiant. - Cela a un très beau nom, femme Narsès. Cela s’appelle l’aurore."
Jean GIRAUDOUX
Électre, II.10
(OST : Brigitte Fontaine - Ah, que la vie est belle)
dimanche, octobre 14, 2007
mes z'ami-e-s, mes z'amours, mes z'emmerdes...
chant sème antique :
aurore,
électre,
giraudoux,
ubifaciunt
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1 commentaire:
Τρομερό δόλωμα η ηδονή,
Πλάτωνας
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