(Un peu la flemme pour écrire les z'aminches, vous devrez vous contenter des tofs et de la zique, voilà.)
Pigalle. Set un peu froid, et même si tous les tubes y passent, même si un bon gros son, pas tant d'émotion que ça de la part du Hadji qu'a quand même pris un sacré coup de vieux. Mais bon, Pigalle quoi...
Bonne claque avec la Agnès Bihl, drôle, finement intelligente et classieuse.
Et puis le Leprest. Simplement merveilleux, la grâce et le vertige, sur un fil de silence. Merci Allain.
Et puis, ben à la fin, j'ai fait mon fan lambda, et le Allain il est vraiment super chouette comme gars...
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2 commentaires:
How j'ai vu Pigalle cet été à un festival paumé dans la cambrousse... il me semblait un peu plus vif que comment tu le décris... mais c'est vrai qu'il comence à prendre de la bouteille le monsieur :)
Ouaip, pareil (mais sûrement pas le même festoche -t'éatis à Ville gu ???-) mais déjà pas frais et un peu comme résigné, quoi...
Juste que ça m'a déçu au regard du seul concert que j'avais vu d'eux (vers 1995 à l'Usine de Reims)... Autre époque aussi...
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