mardi, mars 04, 2008

mes z'ami-e-s, mes z'amours, mes z'emmerdes...

Oh yeah oh yeah, qu'on se le dise, oyez, oyez, l'ami Jérèm' est de retour sur le ouorld ouide ouèbe !!!





Son merveilleux et chatoyant site, après quelques mois de boulot, est enfin à nouveau accessible.

Pour l'instant, le Mali, up to come, i presume, le CPE, l'Asie du Sud-Est, les présidentielles et d'autres joyeusetés photographico-phonographiques (nickel la playlist en random).







Kino - the Knife
(d' la bonne miouzik de nerd et de teuf)

6 commentaires:

Anonyme a dit…

Un jour, un petit garçon qui avait toujours vécu sous les tropiques, apprend qu'il va partir en France voir sa grand-mère.
Pensez s'il était content.
Et le voilà parti, en plein hiver.
Voyant qu'il n'y avait plus une seule feuille sur les arbres, il demande à son papa :
"Papa, y'a eu la guerre ici ou quoi ?"

Anonyme a dit…

Belle musique sur le site de Jeremy

Anonyme a dit…

Tu es là , Ubi ?
Je m'en vais demain. Je lirai quelques vers pour toi sur la tombe de Hafez

"Enfin , le vin doré, au gobelet vermeil
fait comme un ciel que constellent des bulles,
qui sont autant de grains aux doigts
des jeunes filles
dont le jeu n'est à nul autre pareil."
Abû-Nuwâs, "Le vin, le vent, la vie"

Anonyme a dit…

aimer
à perdre la raison
aimer
à n'en savoir que dire
et ne connaître de saisons
que par la douleur du partir....

ubifaciunt a dit…

Je suis à moitié là, paumé dans la merveille d'une réalité fabuleuse, qui plus est sans aucune perspective du "partir"....

Je n'en sais que dire, effectivement, c'est si dur à dire, le bonheur...

Anonyme a dit…

Avant de partir, bonnes amours...

Je te le dis là. Elle l'a jamais dit l'histoire de la brioche. C'est une phrase de Rousseau ; on l'a lui a prêtée car elle correspondait bien au personnage.
Je te le dis là car je vais pas leur donner du blé à moudre.

Je reviens dans 15 jours avec plein de vers de Khayyam, Hafez, Saadi.
En farsi...